Les présages de l’ombre
La nuit enveloppait Camelot d’un store sérieux où seules les torches vacillantes dessinaient des lueurs tremblantes sur les murs de pierre. Le vent s’infiltrait dans les couloirs silencieux, porteur de murmures séculaires que seuls les initiés savaient décodifier. Morgane, retirée dans ses appartements, observait le support miroitante d’un bassin empli d’eau perdre. La voyance lui apparaissait dans ces reflets mouvants, traçant les contours incertains d’un futur en mutation. Les images dansaient sous son regard perçant, formant des éclats de visions éphémères. Des ombres se glissaient par les corridors du château, un poignard s’élevait dans une doigt indiscernable, des chevaliers chutaient dans un recrutement dont l’issue restait voilée. La voyance ne livrait jamais ses visionnaires dans leur pleine, mais Morgane savait faire le diagnostic les petites étoiles d’un destinée en positif. L’épée d’Arthur ne suffirait pas à chasser ce qui se tramait dans l’ombre. Le château, endormi dans un semblant de tranquillité, recelait néanmoins les germes d’une peur détaché. Un traître évoluait dans les siens, et la voyance ne mentait jamais. L’inquiétude qui pesait sur le destin ne provenait pas seulement des terres ennemies au-delà des bornes, mais d’un agressivité insidieux qui s’infiltrait au cœur même de Camelot. Morgane sentait la présence d’un raison dissimulé, une personne avec lequel les plans se dissimulaient par-dessous l'obscur du abnégation. Les couloirs du château s’étendaient tels des veines sinueuses, allant à des énigmes oubliés. Dans l’aile la plus reculée de la forteresse, une ancestrale tapisserie s’animait marqué par le imagination du vent, révélant après elle un passage dissimulé. La voyance lui indiquait que votre réponse se trouvait quelque part dans ces recoins oubliés, où des âmes perdues avaient jadis noué des pactes silencieux. Plus loin, Arthur dormait d’un sommeil agité. L’avertissement de Morgane s’était tailler dans son esprit comme un fer rougeaud. Même en but, son corps demeurait en alerte, recherchant à décoder les comètes d’une trahison imminente. Le poids de la couronne se faisait plus lourd, et la voyance, loin d’apporter un halte, ne faisait que développer ses tristesses. Chaque regard échangé dans la auditeur du trône devenait suspect, tout murmure dans les couloirs semblait porteuse d’un symbolique dangereux. Les premiers rayons de l’aube perçaient à essai que déjà le château s’éveillait marqué par l’effervescence des serviteurs et des chevaliers préparant leur journée. Les bruits de pas résonnaient sur la diamant froide, les armures tintaient tandis que les gardes prenaient leur métier. Mais sous cette tradition correctement huilée, des attributs demeurait dissonant. La voyance de Morgane ne laissait vie à aucun doute : l’équilibre de Camelot était menacé, et il ne restait que filet de saisons évident que le store ne se déchire ardemment. Au loin, les corbeaux planaient au-dessus des remparts, silhouettes sombres guettant la suite des événements. Ils étaient les messagers silencieux des divinations funestes, leurs ailes nuisibles faisant à ce qui savaient réaliser que la voyance ne prédisait d'un côté le futur, mais annonçait aussi les tests que aucun ne pouvait s'interdire. Morgane se leva, consciente que le aurore à venir révélerait cependant l’écho de ses visions nocturnes. La truisme se cachait encore en arrière des ombres fuyantes, mais la voyance finirait par se souvenir le voile. L’avenir s’écrivait en silence, et bientôt, la cour du mat Arthur en subirait les conséquences.Les silhouette évoquaient une antique prophétie, une prédiction oubliée liée au règne d’Arthur. Elles parlaient d’une ombrage s’élevant depuis l’intérieur du condition, d’une trahison débarquée au sein même de la cour. Un être correspondant du trône, ayant opté pour en lui le repère du fantaisie, devait œuvrer dans l’ombre pour répandre l’ordre reconnu. La voyance annonçait que ce traître ne frapperait pas avec une lame, mais avec la ruse, dissimulant ses réelles objectifs coccyxes un masque d’allégeance. Les battements de cœur de Morgane s’accélérèrent. Ce que la voyance lui avait montré prenait en dernier lieu sens. Le danger ne venait pas de l’extérieur, mais du cœur même de Camelot. Quelqu’un au niveau des chevaliers, ou cependant un guider du roi, tramait un complot qui échappait encore aux regards ordinaires. Seule la voyance pouvait en évoquer les formes. Un distractions sourd résonna derrière elle. Morgane tourna doucement le visage, le réflexion suspendu. Un habituel d’air s’engouffra dans la bague, prolongeant vaciller l'admiration des torches accrochées aux murs. Quelque chose ou quelqu’un venait de franchir le sphère. Elle referma aisément le parchemin et le glissa sous son manteau. La voyance lui avait agréé à passer sous silence ses découvertes jusqu’au bon instant. Dans ce château où le mythe pouvait porter mille têtes, bon valait ne pas occasionner les soupçons. Elle se détourna des archives, quittant la parure avec la foi que le piège se refermait mollement sur Arthur. Lorsqu’elle remonta vers le support, le quantième s’était déjà levé sur Camelot. Les chevaliers s’entraînaient dans la cour, attendrissant le bois et l’acier dans des éclats métalliques. Arthur observait leurs évolutions depuis les remparts, son regard perdu dans des Émotions lointaines. Il ignorait encore que la peur avec lequel la voyance l’avait averti s’étendait déjà sous ses yeux. Morgane, elle, savait que le temps lui était compté. Les signes ne mentaient jamais, et bientôt, son futur qu’elle avait entrevu commencerait à s'exercer dans la vie.